Celle qui l’a émergé après avoir surmonté une escroquerie aux répercussions financières considérables.
Les coulisses de la famille Kretz
La famille Kretz continue de captiver l’attention ! Alors que la quatrième saison de « L’Agence » s’est achevée il y a peu sur TMC, les fans peuvent se réjouir car les épisodes sont maintenant accessibles sur Netflix.
De plus, les préparatifs de la cinquième saison semblent être en cours. La saison précédente nous a laissés en haleine, avec Valentin Kretz questionnant sa nouvelle existence à New-York et Martin envisageant d’ajouter un agent ne faisant pas partie de la famille à leur équipe d’élite.
En attendant la suite, la famille Kretz offre un avant-goût avec la sortie de leur ouvrage « Bienvenue à L’Agence » (Éditions Fayard), disponible à partir du 27 mars. Dans ce livre, Olivier, Sandrine, Majo et les autres membres de l’équipe partagent des anecdotes inédites et dévoilent les dessous de la série pour la toute première fois.
L’Agence: aux débuts, Olivier Kretz victime de deux escrocs
Dans les extraits que Télé-Loisirs a consultés, on apprend comment Olivier et Sandrine Kretz ont bâti une agence immobilière prospère. Cependant, le chemin n’a pas été sans embûches, comme le confesse le patriarche.
Dès le départ, l’arnaque subie par le père de Valentin, Martin, Louis et Raphaël fut sévère. « Contacté par une firme suisse spécialisée dans le luxe immobilier pour étendre sa présence en France. Après des discussions téléphoniques, je vois enfin les deux partenaires, acheter la licence de leur marque me permettrait d’utiliser leurs outils et leurs listes de propriétés, je rédige un chèque de 30 000 euros », révèle Olivier Kretz, ignorant le piège qui l’attendait.
Coûteuse usurpation d’identité pour Olivier Kretz
Olivier et Sandrine Kretz découvrent rapidement que les propriétés qu’ils présentent sont, en fait, déjà vendues.
« C’est alors que je reçois une lettre d’une agence de Boulogne : Monsieur Kretz, cessez d’utiliser notre nom déposé et retirez immédiatement vos annonces sous peine de poursuites, car vous n’avez pas les mandats de nos propriétés. Les escrocs suisses avaient usurpé l’identité et publié des annonces de biens vendus depuis longtemps.«
Finalement, bien que les fraudeurs aient disparu après la fermeture de leur entreprise, la justice impose à Olivier Kretz de payer 50 000 euros en dommages-intérêts.
L’agence perd de 80 000 euros
Une perte de 80 000 euros qui a eu un impact majeur sur leur entreprise. « Soudainement, je me retrouve sans ressources, au plus bas », partage le chef de famille, ajoutant que cette épreuve lui a donné l’élan nécessaire pour fonder une entreprise « qu’on ne pourrait jamais lui prendre » : la sienne.