Depuis le début d’octobre, il fait l’objet d’une enquête pour violences conjugales, suite aux accusations de trois de ses anciennes compagnes. Ces allégations ont suscité l’intérêt de l’opinion publique, mais de nouvelles révélations sur les méthodes des accusatrices ainsi que la réaction de Stéphane Plaza ont ajouté des rebondissements inattendus à cette affaire.
Les accusations des anciennes compagnes
Trois anciennes compagnes de Stéphane Plaza ont accusé l’animateur de violences verbales et physiques. Deux d’entre elles ont porté plainte, tandis que la troisième a choisi de ne pas le faire. Ces allégations ont ébranlé la réputation de Plaza, l’animateur préféré des Français, et ont déclenché une enquête en cours pour établir la vérité.
Les déclarations des accusatrices ont suscité des réactions mitigées. D’un côté, elles ont trouvé un écho auprès de ceux qui demandent justice pour les victimes de violences conjugales. De l’autre, elles ont également suscité des doutes chez ceux qui estiment que l’homme est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire. Les réseaux sociaux se sont enflammés, alimentant une polémique virulente.
Ces 3 femmes décrivent un homme complétement lunatique tantôt « aimant et prévenant », tantôt « infernal ».
Méthodes discutables des accusatrices
De nouveaux éléments de cette affaire intrigante ont fait surface. Selon des informations exclusives, les trois accusatrices ont été en contact avec des personnes ayant côtoyé Stéphane Plaza bien avant que l’animateur ne porte plainte lui-même pour harcèlement et cyber-harcèlement à leur encontre. Deux femmes, anciennes collaboratrices ou amies, ont affirmé avoir été harcelées par le trio pour obtenir leurs témoignages. Ces méthodes douteuses ont soulevé des questions sur la crédibilité des accusatrices.
Il est apparu que l’une des femmes harcelées a porté plainte elle-même, mais non pas contre Stéphane Plaza. Elle a choisi de porter plainte pour harcèlement et cyber-harcèlement, déclarant avoir reçu une « centaine de messages » de la part des accusatrices. Ces messages auraient été insistants, allant jusqu’à la menace.
Témoignages et plaintes
La seconde plaignante devrait déposer sa plainte dans la semaine à venir, renforçant la controverse autour de l’affaire. Ces actions légales suscitent des débats passionnés. D’un côté, elles sont considérées comme une riposte nécessaire aux accusations portées contre Stéphane Plaza. De l’autre, certains estiment que les accusations de harcèlement à l’encontre des accusatrices méritent d’être examinées de manière approfondie.
Le contenu des échanges entre les trois accusatrices a été rendu public, révélant leur détermination à faire chuter Stéphane Plaza. « Je n’ai pas du tout peur moi, si ça part en couilles, c’est lui qui va perdre, car c’est lui qui est connu, pas moi, et j’ai trouvé une association qui paie les frais de l’avocat », a déclaré l’une d’entre elles dans un des messages. Ces éléments ajoutent une nouvelle dimension à l’affaire, alors que le public se demande qui dit la vérité.
La réaction de Stéphane Plaza
Depuis que les accusations ont éclaté, Stéphane Plaza a gardé le silence. Son avocate, maître Hélène Plumet, a déclaré que ce silence ne constitue en aucun cas une admission de culpabilité. Elle a affirmé que son client est très affecté par ces accusations et que les enquêtes internes ont conclu à l’absence de toute preuve de violence morale ou physique de sa part. Cependant, les médias et les réseaux sociaux ont amplifié les accusations, créant une tempête médiatique.
Plusieurs personnalités, dont Karine Le Marchand et Eric Antoine, ont témoigné en faveur de Stéphane Plaza. Ils ont affirmé n’avoir jamais été témoins de comportements violents de sa part envers quiconque. De plus, Stéphane Plaza avait lui-même porté plainte au pénal pour harcèlement et cyber harcèlement dès le mois de juin 2023, mettant en lumière un volet moins médiatisé de cette affaire.