Léa Salamé, l’une des présentatrices les plus en vue de l’univers médiatique français. Quand ce n’est pas sur France Inter, c’est à la présentation de ‘Quelle époque !’ diffusée sur les antennes de France 2, qu’elle officie. Et ce n’est pas, car elle est très souvent aux commandes des soirées spéciales, comme ce fut le cas ce 14 mars avec Stéphane Bern, à l’occasion d’une soirée de solidarité à destination des victimes des séismes survenus en Turquie et en Syrie. Impossible donc de ne pas reconnaître les qualités de cette femme au talent immense. Ainsi, nous vous livrons quelques anecdotes sur l’ex-présentatrice de France 24.
Une journaliste au talent immense !
Ça fait de nombreuses années déjà que les français sont familiers au visage et à la voix de Léa Salamé, à la télé comme à la radio. Quand la journaliste n’est pas à la tête d’une émission quotidienne ou hebdomadaire, elle est très souvent aux commandes de certaines « soirées spéciales » pour des événements politiques, culturels ou des hommages. C’était le cas ce 14 mars sur les antennes de France 2, en duo avec Stéphane Bern pour une soirée d’hommage aux plus de 52 000 morts des séismes en Turquie et en Syrie. Ce n’est par ailleurs pas le premier du genre pour Léa Salamé, car en 2020 elle avait pris part à une soirée d’hommage et de soutien au Liban, deux mois après l’explosion survenue sur le port de Beyrouth.
1. Léa ne s’appelait pas Léa
En réalité, Léa Salamé ne se prénommait pas ainsi, du moins ce n’est pas ce prénom que son papa (ancien ministre) et sa maman (arménienne) lui ont donné. Hala fut le prénom reçu à sa naissance une journée du 27 octobre 1979 à Beyrouth, au Liban. « En France, on prononçait Hala, Allah (…) Je subissais des méchancetés inouïes parce qu’on liait mon prénom à celui d’Allah. […] C’était hyper violent à mes oreilles », avait-elle confié au magazine Le Mensuel. On comprend maintenant pourquoi elle a dû changer de prénom.
2. Léa Salamé, blessée lors des attentats du 11 septembre
Alors qu’elle était en voyage académique à la New York University en 2001 pour un cursus de droit qu’elle suivait à l’université Panthéon-Assas puis à Sciences Po Paris, Léa Salamé s’est retrouvée au plus près des attentats du 11 septembre. « On a tous été propulsés par terre, jetés par terre, éraflés de partout », déclarait-elle dans l’une de ses rares confidences.
3. Un coup de foudre en plateau
Sa relation avec Raphaël Glucksmann commence sur le plateau de « On n’est pas couché », un véritable coup de foudre. En effet, c’est en 2015, au lendemain des attentats qui ont frappé Paris et Saint-Denis que tout s’est passé. Elle le racontait elle-même dans une interview à Marie France : « Concentrée sur mes relations amoureuses, mes objectifs, ma carrière, j’éludais la question d’avoir un enfant (…) Un homme m’a donné envie de devenir mère. En six mois après, j’étais enceinte »
4. Sa carrière en pause ?
« Je suis en réflexion sur mon avenir avec la direction de France Inter (…) Je dois m’occuper de mes enfants. J’ai une famille. Depuis que mon fils est né, je ne prends jamais de petit-déjeuner avec lui et je ne l’emmène jamais à l’école (…) Il y aura sans doute des évolutions l’an prochain », avait-elle lancé en février à Puremédias. Nul doute qu’on se dirige tout droit vers une pause pour la journaliste du PAF.
5. Elle a reçu un tueur en série (vive polémique)
Samedi 11 février 2023, Léa Salamé a reçu dans Quelle Époque ! Charles Sobhraj, alias « Le Serpent ». Soupçonné d’avoir commis une vingtaine de meurtres en Asie dans les années 1970, le septuagénaire avait été condamné au Népal, en 2004, à la prison à vie pour le meurtre d’une touriste américaine et de son ami canadien en 1975. Il a finalement été libéré par la Cour suprême du Népal le 21 décembre 2022 à cause de ses problèmes de santé, avant d’être rapatrié en France. Son histoire a inspiré une série Netflix, Le Serpent, dans laquelle Tahar Rahim incarne le rôle du tueur en série.