Au terme de cette édition, un constat amer s’est imposé : seul le couple formé par Patrice et Justine a réussi à surmonter les embûches, comme l’a révélé le bilan final. Cette issue a suscité des questionnements, auxquels Karine Le Marchand, la présentatrice emblématique de l’émission, a tenté de répondre lors de son passage dans « C à vous » le 24 novembre.
Le bilan de la saison 18
Lors de l’étape du bilan, le verdict est tombé : une seule histoire d’amour a perduré parmi tous les participants. La jalousie et l’éloignement se sont avérés être les adversaires les plus redoutables pour la plupart des couples formés au cours de cette saison.
Dans une story Instagram, Karine Le Marchand n’a pas mâché ses mots en qualifiant la saison de « catastrophique en termes de nombre de couples. » Cela souligne la difficulté éprouvée par les participants à établir des connexions durables au sein de cette édition.
Les explications de Karine Le Marchand
Invitée sur le plateau de « C à Vous » le 24 novembre, Karine Le Marchand a été interpellée sur le faible taux de succès amoureux de cette saison. Sans faux-semblant, elle a admis que c’était une « catastrophe, » tout en cherchant à en donner les raisons. Elle a souligné que cette année était marquée par de nombreuses ruptures, attribuant cela à l’impact du confinement sur les couples.
Selon elle, de nombreux couples qui ont tenté de se réconcilier pendant cette période ont finalement explosé deux ans plus tard. Elle a observé un changement dans la mentalité des gens, soulignant qu’ils semblent moins enclins à faire des efforts et à sacrifier pour maintenir une relation stable. Pour Karine Le Marchand, cela complique davantage la formation de couples, une situation inédite dans l’histoire de « L’amour est dans le pré. »
Les attentes pour la saison 19
Mohamed Bouhafsi a rappelé que Karine Le Marchand avait exprimé le souhait d’avoir « un peu moins de goujats » pour la prochaine saison. L’animatrice a répondu en soulignant que, bien qu’ils soient agréables en sa présence, si des caméras étaient placées chez chacun pendant la période de séduction, cela susciterait des rires et des réflexions sur certaines attitudes.
Elle a souligné que les participants étaient filmés, mais que personne ne pouvait prévoir comment ils se comporteraient pendant la période cruciale de séduction.
La réalité de la séduction
Un élément crucial que Karine Le Marchand a tenu à souligner est la complexité de la période de séduction, souvent amplifiée par la présence des caméras. Elle a révélé que, bien qu’en sa compagnie les participants soient généralement bienveillants, la réalité de la séduction peut révéler des aspects surprenants de leur personnalité.
Elle a insisté sur le fait que si les téléspectateurs voyaient les coulisses de chaque tentative de séduction, ils seraient témoins de situations parfois comiques, parfois déconcertantes. Cela rappelle que l’amour, même à la télévision, n’est pas dénué de surprises.